Agir et former pour un sport rassembleur et épanouissant
Aider les éducateurs à créer les conditions de motivation, respect et confiance des jeunes
« Transmettre, ce n'est pas imposer nos vues à l'autres, c'est le révéler, le faire grandir dans ce qu'il a de meilleur. »
C'est l'histoire de...
Djibril, 11 ans, intègre un club de football pour la première fois. Dès le premier entraînement, il est pris à partie par d’autres joueurs, prolongeant ainsi les conflits qui les opposent au collège. Djibril répond et frappe. Lors de son premier match, il s’énerve envers son adversaire et lui donne un coup de pied. “On ne peut rien faire pour lui” “Il n’a rien à faire dans un club” “Faut pas chercher à comprendre” voilà ce que Djibril entend dire sur lui, ensuite, de la part des entraîneurs. Il finira par arrêter le football.
Maria, la maman de Yanis (12 ans) regrette la pression subie par son fils au sein du club : “Il avait peur de l’entraîneur, à tel point qu’il faisait exprès d’arriver en retard à l’entraînement pour éviter d’être pris en équipe 1 le samedi. Il était devenu triste, pâle, et ne parlait plus. Depuis qu’il joue en équipe 3, avec un super entraîneur, il s’éclate et il est revenu comme avant, heureux.”
Gabriel, 9 ans, joue au basket. À chaque match, l’entraîneur s’énerve contre lui pendant les temps-morts : “tu es mou, c’est pas possible ! Réveille-toi sinon je te sors.” Gabriel ne comprend pas, il donne son maximum, c’est juste qu’il n’arrive pas à aller plus vite. Après tout, son entraîneur a peut-être raison, il n’est sûrement pas fait pour le basket.
Abdoulaye, 10 ans, adore le football. Il aime retrouver ses copains, rigoler avec eux. Son entraîneur, lui, le voit autrement, qui répète ses consignes à longueur d’entraînement : “On arrête de rigoler” “On n’est pas la pour rigoler” “Reste sérieux” “On travaille sérieusement” Abdoulaye rentre dans le rang, il ne rigole plus. Plus personne ne rigole.
Il y a aussi l’histoire de Maxime, joueur de Hand de 13 ans, qui en a eu marre, un jour, de subir les critiques et reproches permanents de son coach et de ses parents. A force d’entendre “Applique-toi” “Concentre-toi” “C’est pas normal de rater ça” il a fini par quitter le club.
Pourquoi tant de peines ?
Des histoires comme celles-ci, nous en avons observé, constaté, recueilli, vécu des milliers. Les parents rencontrés nous évoquent spontanément et régulièrement, eux aussi, ce type d’anecdotes pour leur enfant. Elles arrivent dans la majorité des clubs, auprès de la majorité des entraîneurs sportifs, de façon plus ou moins intense, plus ou moins fréquente. Elles racontent toujours la même chose : les jeunes sportifs subissent une forme de pression négative de la part des adultes qui les encadrent. Un jeune s’inscrit en club pour pratiquer sa passion. Il est a priori heureux et motivé par cette perspective. Pourtant, sa relation avec son environnement éducatif (entraîneurs, dirigeants, parents, parfois) finit par générer chez lui des sentiments négatifs récurrents : frustration, peur, doute, colère, honte, tristesse, découragement, injustice... Sa motivation, peu à peu, diminue et il n’est plus aussi heureux qu’il devrait l’être. Dans ces conditions, les joueurs souffrent, les entraîneurs souffrent également, car eux aussi aimeraient que ça se passe autrement.
C’est dommage de souffrir quand on pratique sa passion, non ?
À LIBERO, nous considérons qu'aucun jeune ne devrait subir ces pressions, qui plus est dans le cadre de sa passion. Nous voyons le sport comme un formidable vecteur d’éducation, un moyen idéal pour nourrir le bien-être, l’accomplissement, la progression des jeunes et les aider à se libérer.
Former les encadrants à développer une relation éducative
Les lacunes des encadrants – en particulier les entraîneurs les moins expérimentés - sont normales et compréhensibles, car la gestion humaine d’un groupe et la pédagogie ne peuvent pas s’improviser. Elles font appel à des compétences profondes et demandent de connaître en profondeur son public, à travers son fonctionnement et ses besoins.
De nombreux entraîneurs et dirigeants ne disposent pas de ces bases éducatives essentielles, et ils appliquent en général les modèles éducatifs qu’ils ont reçus à travers leurs expériences personnelles et sportives.
Les entraîneurs et dirigeants ont besoin d’être formés, pour apprendre à créer la relation et les conditions éducatives les mieux adaptées à leurs jeunes.
C'est ce que LIBERO vous propose.
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